Cette série s’est appelée au début jour de fête, elle aurait pu s’appeler bonjour tristesse ou ces deux vers d’un poème de Paul Eluard : extrait de Ma morte vivante, derniers poèmes d’amour
Dans mon chagrin rien n’est en mouvement
J’attends personne ne viendra
J’ai essayé de photographier un moment d’abandon, d’autant plus fort que ces arbres mutilés, dans un temps proche du cliché étaient au centre de la fête.
La manie (habitude bizarre) de celui qui s’est occupé de ces arbres est encore présente par l’emballage, la coupe méthodique de chaque branche….